La CorruptionPersonne n’a encore réussi à percer le secret de la nature profonde de la Corruption, pourtant beaucoup s’y sont penchés au cours des siècles depuis qu’elle a failli éradiquer l’humanité.
Leur conclusion étant que ce n’est ni une fièvre, ni un parasite, ni une humeur. C’est un fléau qui semble avoir une forme de volonté, car il est capable de réagir aux stratégies mise en place pour le contrer, mais assez primaire et désorganisée, sans pensée construite.
Si la Corruption avait une forme de volonté, cela ne serait que de le propager toujours plus, sans se soucier des conséquences sur ses hôtes, qui sont portants graves.
Extrait du compte-rendu d’observation d’un prêtre décrivant la détérioration de l’état d’un homme touché par la Corruption datant de l’époque de la grande débâcle.
Extrait du compte-rendu d’observation d’un prêtre décrivant la détérioration de l’état d’un homme touché par la Corruption datant de l’époque de la grande débâcle. - Citation :
- Le premier jour, l’homme semblait normal, il était capable de tenir une conversation et de réagir de manière raisonnée, mais cela n’a pas duré. Dès le quatrième jour, il a montré des signes de plus forte irascibilité, le pourtour de son iris était cerclé d’une fine ligne rouge sombre. Il semblait plus nerveux, mais réussissait à se contenir et à se contrôler. Après son état n’a fait qu’empirer, jour après jour, il lui devenait plus dur de refréner ses accès de violence tandis que le cercle autour de son iris se faisait de plus en plus large et que le mal se mettait à suinter de ses yeux, son nez, sa bouche, ses oreilles.
Finalement une petite quinzaine de jours après la date de son infection, nous l’avons perdu, il n’était plus maître si de son esprit ni de son corps, voulant à tout prix attaqué tout être vivant l’approchant. À l’isolement, il était agité, cherchant tous les moyens de sortir pour assouvir ses pulsions destructrices.
Dans sa forme la plus primaire, elle semble à une matière fluide, passablement visqueuse d’un rouge profond proche du noir. Elle apparaît, du jour au lendemain, souvent dans des points d’eau pour les contaminer et avec eux ceux qui les utilisent.
Un humain dans une forme physique normale met une quinzaine de jours à tomber sous son emprise. La durée sur les animaux est plus variable, c’est tour à tous quasiment instantané ou plus lent prenant quelques jours.
Une fois atteins le contaminé est atteint d’une violence féroce qui le pousse à attaque tout ce qui passe à sa portée. Il n’est ni plus fort ou plus rapide que ce qu’il était avant, mais n’a plus aucune notion de peur de danger et surtout de douleur. Le contaminé ne sentent pas la douleur, elle n’existe plus pour eux, ce qui les rend plus dangereux, leur plus grand atout comme leur plus grande faiblesse.
Jadis, la corruption cherchait à submerger l’Humanité par le nombre et envoyait, à intervalle irrégulier, de horde d’innombrables bêtes infectées sur les villages villes et autre habitation humaine. Depuis l’apparition de la Fièvre des Lucioles dans les année 1295, elle semble avoir quasiment abandonné ce mode de fonctionnement, même quelques hordes d’animaux infectés sont encore de temps à autre aperçue aux alentours de hameaux isolés.
La Corruption a trouvé dans la fièvre, dans ses souches les moins mortelles, un nouveau vecteur de transmission plus omniprésent plus imprévisible. Une épidémie pouvant survenir n’importe où, n’importe quand. Ces porteurs de cette fièvre développent les symptômes classiques de leur infection jusqu’à tard jusqu’à ce que leur sang se mette à luire d’une lueur rougeâtre au lieu de bleuâtre. À ce stade, toutes les personnes ayant soigné la malade sont très probablement corrompues elle-même, car la fièvre est contagieuse dès l’apparition des symptômes.
Le commun n’est pas immunisé contre les effets de Corruption, en revanche, les veilleurs le sont et les miliciens sont pour la plupart résistants à cette dernière à des degrés différents.
Un élixir de préparation douteuse, ris de manière préventive (avant le contact), permet de développer une immunité temporaire à la Corruption, mais les effets sur la santé son mal connu sur le long terme, mais les premier signes montrent qu’il est plutôt négatif, sans compter qu’il ne s’agit pas d’une expérience agréable sur le moment.
Enfin à de très, très, rares occasions des enfants sont nés avec un sang blanc, une fois testé, il s'est avéré qu'ils étaient immunisés à la Corruption. Le bénéfice de leur sang n'est pas utilisable directement, toutefois à l'issue d'une préparation délicate avec de nombreux ingrédients, il est possible d'obtenir un remède curatif au Fléau sans effet secondaires, particulièrement handicapants, si ce n'est qu'il faut en prendre régulièrement. Toutefois, les doses de ce remède sont hors de prix et sous le monopole exclusif du Clergé.
Les moyens de luttesFut un temps la Corruption était une menace bien présente, angoissante, mais plutôt lointaine, qui ne frappait que par attaque difficilement prévisible et violente, elle ne faisait pas réellement partie du quotidien surtout dans les villes et pour laquelle seule les veilleurs était une solution.
Désormais, avec son association avec la Fièvre des Lucioles, elle s’est invitée partout même dans les endroits considérés comme sûr avant. La Fièvre ne frappe pas partout, tout le temps et toutes ses souches ne sont pas imprégnées de la Corruption, mais le fait qu’une épidémie puisse survenir partout sans avoir si elle est corrompue ou non l’a rendue plus concrète, moins lointaine.
- La fièvre des Lucioles a écrit:
Entre autres maladies touchant déjà la population d’Auven, elle fut introduite à Auven après le retour de l’expédition du Grand Ouest, dans les années 1294. Elle se caractérise par une fièvre, d’où son nom et une luisance des veines sous la peau des personnes infectées.
La maladie met souvent une dizaine de jours à se déclarer, le premier symptôme à apparaître est une fièvre qui ne fait que s’intensifier d’un jour à l’autre qui a tendance à clouer au lit les malades. Plus la fièvre avance plus les veines des personnes atteintes se mettent à luire. D’abord, cela ne se voit que dans le noir alors qu’au plus port de la maladie la lueur dégagée est visible au travers de la peau même en plein jour.
Ce n’est seulement à ce stade que l’on peut savoir si la souche est corrompue au non. En effet, les souches corrompues brillent d’un éclat rosé voir rougeâtre, alors que les souches classiques irradient dans des tons blanc bleuté.
L’infection dure tout au plus une semaine et est très rude pour l’organisme, mais pas forcément mortelle, même pour les souches classique.
Il existe n’existe toujours pas de remède pour la fièvre à part tout ce qui peut aider à faire baisser la température et gérer la douleur.
De par la proximité avec la Corruption, tout nouveau cas de Fièvre des lucioles est pris très au sérieux et engendre un confinement immédiat du malade et de ses proches. Dans les épidémies les plus importantes, des villes entières ont pu être confinées.
Lorsque qu’il y a un doute qu’il s’agit d’une souche corrompue et que cela devient lors de contrôle, le Clergé n’hésites pas à envoyer la Milice et les Veilleurs. Cela ne s’est jamais très bien terminé.
La potion : la potion est un mélange épais avec une forte odeur de moisissure, de couleur blanchâtre, et qui, pris préventivement, donc avant le contact présumé, protège de la corruption pour quelques heures (entre 3 et 6 heures). Il est en vente pour assez peu cher chez tous les apothicaires et herboristes, car il est assez facile à produire.
Malgré ces effets, ce n’est pas vraiment le remède miracle, hormis son goût exécrable, il est très désagréable à prendre car il créer des symptômes semblables à celui d’une fièvre (augmentation de la température corporelle et maux de tête). Ces effets secondaires restent tout de même tolérables.
Le plus inquiétant est ses effets si la pris est répété, ils ne sont pas encore bien connus, mais tous les utilisateurs de la potion qui ont réussi à survivre ont fini dans un état physique amoindrit et sont mort de manière relativement prématurée.
La potion ne peut pas guérir de la Corruption, au mieux, il a été observé quelques fois qu’elle pouvait retarder l’évolution du Fléau chez un être Humain, mais rien de probant.
Le Valkoen : Elixir complexe fait à partir de Sang de Sang-Blanc filtré et combiné avec au moins une dizaine d’autres ingrédient dont une importante proportion d’extrait très pur de plante de Queue-de-Loup, le Valkoen est le seul remède curatif, donc après la contamination, connu à La Corruption, il a également le mérite de n’avoir aucun effet secondaire grave connu.
Il est extrêmement difficile à produire et demande des compétences très poussée en alchimie, ainsi qu’une quantifiée non-négligeable de Sang blanc pour être préparé, étant donné que le nombre d’individus Sang-Blanc existant et pouvant être saigné est très faible il y a très peu de dose à disposition et elle sont toute sous le contrôle du Clergé, qui s'il ne les utilise pas pour soigner ses propres membres comme les miliciens touchés par la Corruption et certain autres considéré comme indispensables, celles qui restent se monnaient donc à prix d’or.
Ce n’est toutefois pas un remède parfait, car il faut des doses régulières pour rester saint.
C’est un liquide blanc légèrement rosé que l’on inocule au contaminé environ toutes les quatre semaines, parfois plus, parfois moins en fonction de la fluctuation de santé de la personne traitée (s’il est malade en plus, il faudra rapprocher les doses, s’il se porte bien, il sera possible d’espace d’une à deux semaines de plus.).
Les doses vendues par les Chercheurs, couvrent environ 6 mois de traitement.
Il n’y aucun autre moyen connu de lutter se protéger ou de guérir de la corruption.
Évidemment que ce soit pour la Potion ou plus rarement pour le Valkoen, il en existe des versions fausses ou frelatées qui n’ont aucun effet. Il est donc conseillé de bien choisir son vendeur.
Nouvelles découvertesCompte rendu du chercheur Elyas Fitbourg - Juin 1394Per-Froid était un petit bourg paisible avant que la Corruption n'y étende son influence néfaste. Nos soupçons se portèrent sur un empoisonnement du point d'eau du village, il reste cependant difficile de conclure si la contamination était due à un geste volontaire ou non. D'après nos connaissances du secteur, aucune cellule du souffle ne semblait présente dans la région. Nous savions que la Corruption n'avait nullement besoin d'une aide humaine pour s'étendre, la propagation pouvait se faire par le biais d'animaux infectés. Un écureuil ou une souris corrompue aurait très bien pu tomber dans le puits et s'y noyer, contaminant ainsi l'eau puisée par l'ensemble des habitants.
La contamination fut fulgurante et en une dizaine de jours le village fut totalement perdu, sans l'intervention d'une Huvar et de son Huva le mal aurait pu s'étendre plus encore dans la zone et toucher d'autres zones de vies. Fort heureusement, à l'heure où j'écris ses mots
Per-Froid a été purifié, tout comme les corps des victimes. Malgré la purification de celui-ci, il fut choisi de condamner le puits.
Cependant, il est de mon devoir de faire mention d'une... anomalie. Par le passé nous avions déjà eu l'occasion d'observer et de documenter plusieurs cas d'infection, que ce soit chez des êtres humains, ou chez des animaux, des cas de « mutations » extrêmement rares avaient été d'ailleurs observés sur certaines bêtes, mais jusqu'alors cela n'avait jamais été sur le cas sur des êtres humains.
Le spécimen de corrompu que j'ai eu l'occasion d'examiner mesurait aisément plus d'une toise de haut, il va sans dire que je n'avais jamais vu une « personne » aussi grande jusqu'à présent. Le sujet était de sexe masculin, outre l'altération manifeste de sa raison, la corruption avait aussi modifié l'aspect physique du corrompu.
croquis du sujet d'étude
La musculature dudit spécimen s'était anormalement développée, si bien que la plupart de ses vêtements n'avaient pas résisté à cette soudaine évolution. Son cou était presque aussi large que celui d'un bœuf, ses mains faisaient deux fois la taille de celle d'un homme adulte si bien que j'imagine que de son vivant il aurait été capable de broyer un crâne à mains nues, sa peau est devenue aussi rigide que du cuir (bien que cela peut être dû à la mort du sujet).
Jusqu'à présent aucun cas similaire n'avait été observé durant nos études des effets de la corruption, peut-être s'agit-il seulement d'un cas isolé ou... d'une évolution de ses effets sur le corps humain.
Le bestiaire Depuis 1395, il a été observé que la corruption a acquis, à de rares occasions la capacité de muter des animaux. Cette nouvelle capacité à été découverte en premier dans le
Bourbier de Naeram.
Depuis quelques nouvelle occurrences cauchemardesque de cette capacité ont été vue ailleurs dans Auven.
Les Krappa -De taille plutôt raisonnable, celle d'un petit chien, ces choses évidemment venues de crapauds et grenouilles sont très peu dangereuses isolées, ce qu'elles ne sont quasiment jamais. Les rapports parlent d'au moins cinq à six individus au minimum, jusqu'à des dizaines.
Leurs petites dents acérées font des morsures très douloureuses. Comme certains de leurs congénères tout à fait normaux, ces petits amphibiens de cauchemars ont tendance plutôt à se trouver autour des mares, corrompues, enfouies dans la boue ou cachée sous la surface. Il est donc facile de ne pas les voir.
Elles sont communes et il serait vraiment très imprudent de les sous-estimer, car on ne sait jamais combien peuvent sortir du sol. La variété de couleur de ces petits monstres les rend également parfois difficilement discernables dans la végétation.
Statistiques :
Attaque : 5 | Perception : 3
Défense : 0 | PV : 2
Les lepirs -Créatures crépusculaires et nocturnes, les Lépirs sont aveugles, mais sont tout à fait capable de localiser un imprudent qui s'approcherait trop près. Ils pourraient être de très loin assimilés à des papillons de nuit d'une envergure grande comme une femme.
Leur gueule puissante est évidemment la partie la plus dangereuse de leur anatomie à éviter à tout prix. Leurs pattes étrangement solides malgré leur aspect frêle sont par ailleurs terribles, une fois qu'elles vous tiennent elles ne vous lâchent plus vous laissant à la merci du monstre.
Ainsi, il faut souvent deux hommes pour se débarrasser de ces abominations volantes.
Du fait de leur imposante taille, on ne les trouve pas dans les zones les plus boisées de Naeram. Ces rares créatures nichent plus en bordure de bois, près de la partie plus en plaine de la région.
La journée, elles s'enveloppent dans leurs ailes et s'agrippent contre de grands arbres pouvant supporter leur poids. Il en résulte une masse sombre à l'aspect de cocon. Attention, elles ne sont pas non plus vulnérables et peuvent tout à fait contre-attaquer si vous avez le malheur de rater votre coup.
Statistiques :
Attaque : 8 | Perception : 6
Défense : 0 | PV : 15
Les Mormusqués -Comparable à n'importe lequel des rongeurs d'eaux qui hantent en temps normal un marais ou autres bourbiers, les Mormusqués sont une sous espèces de rongeurs aquatiques que la Corruption à détourné au point de transformer un paisible grignoteur de berge, en un pernicieux prédateur de gambette.
Disposant d'une rangée hypertrophié de crocs, la bête à du mal à fermer totalement la mâchoire et la tient presque perpétuellement ouverte comme s'il était soumis à un effort constant. Disposant d'un caractère aussi territoriale qu'agressif, elle n'hésitera à aucuns moments, fondant sur toutes personnes rentrant dans sa zone d'action
Grégaire, un Mormusqué en plus d'être un bon nageur, à tendance à se regrouper en meute d'individus identiques. Ils sont particulièrement résistant et tenace, aussi, il est malavisé de tomber sur un de leurs nids qui sont pour la plupart du temps, dissimulés dans la fange.
Statistiques :
Attaque : 4 | Perception : 4
Défense : 1 | PV : 3
Proposé par Magnachatr d'AsjirLe plakac -On disait que le premier qui y avait fait face était revenu fou. D'une nuit obscure, plongé dans la froideur humide du marais, il avait surgit des arbres, prêt des premières tentes, en courant, en hurlant, les mains sur les oreilles, suppliant que le bruit ne cesse. Les cris. Le cris. Il n'avait prononcé qu'une phrase. Il n'avait fait qu'une demande, avant qu'on l'abatte, durant le temps ou sa corruption n'avait pas encore contaminé les premières personnes venus a sa rencontre. « Les yeux rouges m'ont eu ».
La créature n’était pas spécialement impressionnante. Sans un coup d'oeil habile, on pouvait meme totalement passer a coté. C’était un volatile. Un oiseau semblable a un corbeau, a la différence de ce dernier que ses plumes avaient perdue une partie de ses couleurs, jusqu'à, pour ceux au stade le plus avancés, devenir blanc comme un albinos. Mais pour l'etat le plus commun, c'etait un corbeau un peu clair, développant des pustules.
On aurait dit que la créature etait aveugle. Elle ne marche qu'au bruit. Dans une zone extrêmement précise. Mais quand on y pose le pied, c'est terminé. Une fois qu'on attire l'attention de la créature, il est impossible de lui échapper tant que, sois vous, soi elle, ne soit éliminé.
Il n'y a rien a craindre, cependant. Ce n'est pas une créature qui, telle la Corruption habituelle, va vous attaquer sans aucun temps mort, sans fatigue, jusqu'à vous dévorer et vous corrompre. Non, la créature ne fait qu'une chose. Elle vous suis. Et...elle cri.
Un cri strident, pouvant aller jusqu'à percer les tympans quand il est entendu de trop prêt. Mais qui a également un autre effet. C'est un cri qui attire toute les créatures corrompues de la zone, en désignant la personne ciblé comme la victime a abattre en priorité. En clair, c'est un détecteur. Un outil de la corruption pour se fournir en âme fraîche a briser, en chair tendre a dévorer.
Alors si vous aussi, vous entendez le cri, sachez qu'il n'est pas trop tard.
Mais que le temps est compté.
Statistiques :
Attaque : 0 | Perception : 10
Défense : 4 | PV : 3
Proposé par KassiaLes Canivoras -D'après les rumeurs, ces créatures étaient sûrement des chiens ou des loups autrefois, voire peut-être des phacochères sangliers. Aujourd'hui ce ne sont plus que des tas sanguinolents et purulents uniquement guidés par un instinct primaire : tuer.
Rares sont ceux revenus en vie après une telle rencontre mais les témoignages racontent qu'ils sont aussi hauts qu'un Huvar.
Leur force est imposante. Cependant leur faible intelligence les pousse à foncer droit devant et attaquer à vue sans se poser de questions. Un groupe aguerri peut donc avoir une chance d'en vaincre un avec un peu de stratégie.
Ils vivent généralement seuls ou en duo. Il est très rare d'en voir dans un groupe plus étendu.
Les Canivoras inoculent bien évidemment la Corruption à ceux en contact avec eux et n'étant pas protégés contre cela. Cependant ils peuvent aussi transmettre une maladie dont les symptômes inclus fièvre et boutons purulents sur tous le corps, la Purpurine. Cette maladie est mortelle pour la plupart des cas et ceux qui s'en sortent ont le corps grêlé en guise de cicatrices.
Statistiques :
Attaque : 6 | Perception : 3
Défense : 1 | PV : 17
Proposé par GabrielLe Vorakh -ous les ombres épaisses des forêts les plus profondes se cache une créature se déplaçant comme un serpent, capable de se mouvoir dans l’eau des marécages comme sur la terre ferme, entre les troncs centenaires.
Nul ne sait comment une telle créature à vu le jour, mais il semblerait qu’elle résulte de la fusion entre un ours et un serpent.
Ses quatre bras musculeux et terminés par d’horribles doigts griffus sont capables de déchiqueter un homme sans aucun mal et sa gueule putride peut rapidement le dévorer avant de reprendre lentement son chemin.
Ses quatre yeux luisants lui permettent de voir dans les ombres et sous l’eau puante d'un marais.
Statistiques :
Attaque : 11 | Perception : 5
Défense : 3 | PV : 20
Proposé par Sigrid d'Ösbourg