Vous vous égarez à présent en Auven

- Nous sommes du 1er Juillet de l'an 1394 au 1er Juillet de l'an 1395 -
Fraîcheur, grisaille
Chaleur, orages épars
Fraîcheur, pluie
Froid,
neige et glace
La carte de l'enclave
Dernièrement...
[22/04] Mise en place d'une zone temporaire dont le destin est entre vos mains - Plonger dans l'aventure.

[22/04] Varteja a réouvert depuis un an, joyeux anniversaire à lui !

[21/03] Ouverture des candidatures au poste de MJ - Les modalités.

[11/02] Donnez votre avis - Sondage sur des rôles de MJ.

[11/02] Implantation de nouvelles informations sur Ebris - Lire les nouveautés.

[22/01] Ajout de fêtes suite au concours C'est la fête - Voir les nouveautés.
Les événements importants
En janvier 1395, étant toujours sans nouvelle de la Duchesse de Degron, une régence a été mise en palce en la personne de Konrad de Gueshelle, fils ainé du Gouverneur. Il sera chergé d'évaluer la situation et de trouver une solution plus permanente dans l'année.

Fin été 1394, Hidegarde de Sauran est portée disparue, la Duchesse était partie coordonnée elle même une expédition contre le Marquisat des Terres Sauvages. Aucun membre de sa suite n'est revenu.

En fin d’année 1394 il devient évident que depuis plusieurs mois Lanten fait preuve d’une résistance envers Auven, notamment en instaurant une nouvelle taxe pour faire accoster dans le port les navires en provenance de l’enclave mère.
Les petits potins
Depuis le retour de Mirja de Cauvenac auprès des siens en décembre 1394, l'entente entre les Louvières et les Cauvenacs ne serait pas aussi paisible qu'elle est présentée.

On sait que le cerlgé chasse les hérétiques dans ses rangs, mais il se dit qu'ils n'utilisent pas des methodes très propres.

Avec le renforcement des liens autre Cleyf et Ebris, il y a de plus en plus de ressortissant de cette enclave qui s'aventure jusqu'a la cité ducale. Il paraît même que quelques ouvrage sur le culte des deux dieux se mettent à circuler en ville.

Les chercheurs auraient été chargés d'étudier les propriétés d'une plante en provenance de Lanten, elle pourrait diminuer la toxicité de la Potion.

Pour la première fois depuis 150 ans, le Gouverneur aurait envoyé des émissaire dans toute les grandes cours d'Auven. On dit même qu'il en aurait envoyé à Lanten, Wararst et Ebris.
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Alarik Mäkinen
Prêtre itinérant
Escroc sur les bords
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Cassandre Trenrir
Guérisseuse itinérante
En recherche de repères
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Sven Wolken
Ouvrier agricole / Chasseur
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Vilhelmina Kivir
Huvar
Traitresse à son sang
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Protecteur de chercheur
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Chercheuse
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Léandre de Rivenoire
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Tête dure
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Le Culte d'Huvara - la Religion

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Le Culte d'Huvara - la Religion

La Nature
Messages : 189
Date d'inscription : 24/08/2017
La Nature
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Le Culte d'Huvara - la Religion 1i0fMar 18 Avr 2023 - 7:57

A savoir -
Age: Éternelle
Métier : Créatrice de vie
La Nature
Maîtresse Nourricière
Le Culte du Grand Loup
Religion du Protecteur



Généralités - La hiérarchie - Les cérémonies
La branche du bailli - Le Mythe du Grand Loup


La vie spirituelle d’Auven est régie par la croyance en la Nature, et son envoyé Huvara, le premier Grand Loup. C’est un culte plutôt libre sans trop de dogmes, on célèbre la Nature un peu tous les jours en essayant de tenir compte des contraintes qu’elle impose, et dans les cérémonies de la vie ou les temps fort de l’année on rend plutôt hommage ou on demande sa protection à Huvara, sauveur des Hommes.

Depuis la chute de la Forteresse, le Culte d’Huvara n’est plus tout à fait le même. La perte de son site le plus sacré, qui plus est souillé par des fanatiques hérétique à créer une vraie crise existentielle et de confiance.

Ce n’est pas la croyance en la Nature et son envoyé, le premier Loup, qui a été remise en cause, mais l’organisation et les prorogatives du clergé, incapable de protéger son bastion le plus précieux. Dans l’année qui a suivi une baisse drastique du nombre d’enfants promis. La rafle qui en a découlé a été extrêmement mal vécue par le peuple. Un climat tendu s’est instauré empiré par l’apparition des souches Corrompues de la Fièvre des Lucioles.

Les tensions n’ont fait que s’intensifier jusqu’à l’intervention des hommes du Gouverneur eux même en plus des miliciens, pour encadrer, de manière assez brutale, la rafle suivante.

L’épisode de tension dura environ une dizaine d’année, et prit fin quand les haut dirigeant d’Auven offrirent tout un enfant en tribut.

Le marché passé était que le pouvoir en place aidait à apaiser les tensions mais le Culte s’engageait à trouver une méthode moins brutale pour trouver les futurs veilleurs et miliciens.

Briet envoya, trois fils et quatre filles de ses familles les éminentes, Cleyf fit don de deux fils, dont un de la Duchesse elle-même et trois filles, et Degron confia au clergé quatre fils et une fille.

En parallèle de cela une chasse au hérétique et une purge au sein des rangs du Clergé lui-même ont été organisé.

À l'heure actuelle, la situation est apaisée depuis plusieurs décennies.


Généralités -

Dans la vie courante, le culte s’articule autour de temple dans les villes qui peuvent se permettre d’en construire une, ou du foyer d’un prêtre ou d’une prêtresse dans le village et hameaux les plus modestes.
On y célèbre les grandes cérémonies de l’année, ou, à la demande, les cérémonies de la vie, on vient y chercher conseil, soin, refuge.

Dans les temples, on trouve des prêtes et prêtresse d’Huvara, mais également des profanes ne faisant pas partir intégrante du Clergé, que ce soient les familles des membres du temple, car ils sont autorisés à se marier, des étudiants, des soigneurs, dans les plus grands temples, on trouve même des axillaires aidant à l’entretient de ces derniers.

Les temples vivent des dons lors de cérémonie organisée, et de la vente de remèdes.


Hiérarchie -

Le chef suprême du Culte est un Huvar désigné par ses paires qu’on nomme l’Elu et qui es considéré comme la réincarnation d’Huvara lui-même. C’est lui qui a le dernier mot sur toute les décisions prises, mais ce n’est pas lui qui reçoit les doléances ou qui débat des problèmes, c’est son concile qui est constitué de six membres, six qu’il nomme lui-même et six qui sont élus par les Prêtres et Prêtresse Supérieurs.

Ces hauts dignitaires du clergé ont un rôle plus théologique et ne s’occupe qu’assez peu des considérations pratiques de la vie quotidienne. La plus grande incidence qu’ils ont sur cette dernière est lors de la destitution ou le décès du prête ou de la prêtresse Supérieure d’un Temple, ils sont alors mandatés pour nommer un successeur.

Toutes ces instances étaient originellement à Brid l'imprenable, toutefois, suite à la chute de la Forteresse, elles ont migré à Hugren pour affirmer leur emprise sur les terres du continent.

Avant la chute de la Forteresse, une branche étant entièrement dédiée aux Veilleur, les Huva et leur Huvar, mais ils sont si peu nombreux désormais qu’ils ont été intégrés à la Branche de la Milice qui a prise de l’ampleur ainsi que celle des chercheurs.


Les cérémonies de la vie -

La présentation : cette cérémonie à lieu environ deux mois après la naissance d’un nourrisson et est très simple et assez rapide. En effet, elle consiste simplement à ce que les parents se présentent au temple avec le bébé à la première lueur du jour pour le présenter face à une statue d’Huvara, quelques prières seront dites alors qu’un peu de terre du temple ou d’un lieu sacré appliqué sur le nourrisson.
Son nom sera ensuite prononcé devant la statue pour que le Premier loup puisse le reconnaître et le protéger, puis inscrit dans les registres du temple.
Traditionnellement, les parents organisent de petites festivités de famille après la cérémonie, mais est-ce là plus une tradition d’un dogme.

Le départ : lors d’un trépas la dépouille une fois nettoyée est mise simplement en terre à la nuit tombante accompagnée des prières d’un prêtre ou d’une prêtresse. Souvent il est offert quelque présent au défunt pour l’aider à trouver Huvara et mieux se mêler au grand tout de la nature. On dépose ainsi souvent une petite statuette de loup sur le corps avant de l’ensevelir parfois d’autres effets plus personnels auxquels les proches du défunt ou lui-même étaient attachés sont ajoutés.
Une fois la cérémonie passée, une veillée est organisée en l’honneur du mort qui se termine quand une bougie, une chandelle ou une lampa à huile désignée pour représenter la vie du défunt s’éteint. Elle peut donc durer quelques heures comme une nuit entière.

Le mariage : la cérémonie de lien se déroule en deux temps. En premier lieu les époux sont séparément présentés aux proches de leur futur conjoint, c’est très souvent la famille, mais il peut s’agir d’un tuteur ou d’amis si pour une quelconque raison la famille ne peut pas être présente.

À la femme, vêtue de couleurs claires, pastelles, voir, de blanc, on confira un anneau et une peau animale, représentant une peau de loup (la chasse de ce dernier étant interdite).

À l’homme, vêtu de couleur sombre voir de noir, on confiera également un anneau et une graine (assez grosse par pur souci visuel) ou une pâtisserie en forme de graine pour les plus aisés.

Les deux promis se retrouvent ensuite devant le prêtre ou la prêtresse, pour se jurer soutient et fidélité devant Huvara et surtout tout ce qu’il représente et protège. Une fois ceci fait, la femme passe l’anneau à l’index droit de son mari et lui entoure les épaules de la peau, faisant de lui le loup protecteur du foyer. L'homme lui, passe la bague à l’annulaire gauche de son épouse et porte la graine à ses lèvres pour qu’elle la mange, faisant d’elle la garante de la prospérité de sa lignée.

Le Mélange : Cette cérémonie s’organise lorsque les enfants atteignent l’âge d’environ 6 ou 7 ans elle se déroule au temple. Elle est assez impressionnante même si très simple et rapide car elle nécessite l’utilisation d’un récipient contenant de la Corruption et la présence de veilleur, par simple mesure de précaution.
Les enfants sont alignés et il leur est demandé de tendre leur main. Le Huva va alors piquer un doigt de chacun des enfants l’un après l’autre et faire tomber un goutte de leur sang dans la jarre de Corruption.

Si la goutte se mêle au reste de la substance maudite, l’enfant n’est pas immunisé et sera rendu à ses parents.
Si la goutte s’étale mais n’est pas absorbée c’est que l’enfant est résistant et sera alors confié au milicien pour qu’il devienne l’un d’entre eux.
Si la goutte reste bien ronde et surnage sur la corruption, l’enfant est immunisé et sera donc également confié à la milice mais pour qu’il soit formé à devenir un Huva.

Les Sangs-blancs ne sont pas testés, car ils sont assez aisés à repérer, mais lorsque le test est fait avec leur sang la corruption s’écarte et fait une sorte de zone de sécurité autour de la goutte.

Dans les grandes villes, cette cérémonie est organisée tous les ans. Mais dans les plus petites communautés elle est faite à la demande du prête lorsqu’un enfant atteint l’âge requis. Si une famille de Noble le souhaite, la cérémonie peut se dérouler à huis clos plutôt que dans le temple de la ville.

C’est un passage obligatoire de la vie toute famille s’y soustrayant se verra refuser toute autre cérémonie.

Le nombre d’enfants retiré à leur famille est assez faible comparé au nombre d’enfant testé.


Les Veilleurs -

Comme beaucoup de choses, leur prise en charge et leur apprentissage à beaucoup évolué depuis la chute de la Forteresse qui était leur bastion dédié, leur lieu de repos, ce qui se rapprochait le plus d’un foyer pour eux.

Ils sont sous l’égide du Grand Protecteur directement.

Les Huvar sont des humains ayant pour capacité de se transformer en d’imposants Loups, ils sont considérés comme les descendants d’Huvara lui-même. Immunisés à la Corruption ils étaient les premières lignes lors des grandes attaques de bêtes corrompues.
(Plus d’informations dans sujet dédié)

Les Huva sont des humains qui, sont imprégnés, choisis par les Nature et Huvara, ils sont immunisés contre la corruption et avec de l’entraînement, ils peuvent utiliser les force de la nature. Ils sont les seuls à pouvoir purifier la corruption, dans sa forme primaire, a l’aide de rituels impliquant l’usage de leur propre sang.
Une fois que la corruption est dans un être vivant ils peuvent l’en purifier mais cela entraîne irrémédiablement le décès du porteur.


Depuis un siècle leur nombre ne cesse de diminuer, de pas des pertes « normales » dues à la vie qui leur est imposée, mais également car le nombre de naissances de jeune Huvar est en baisse et qu’il ne peut pas y avoir du Huva sans Huvar.

Description des Veilleurs



La Milice -

Véritable bras armé du culte la milice est compte tout de même assez peu de membre. Ils sont formés à partir des enfants identifiés comme résistant à la corruption. Ils sont entraînés au maniement des armes, à la suivie, aussi bien seul qu’en groupe et au premier soin dans différents forts appartenant au Clergé.

Une fois leur formation achevée ils ont une période obligatoire de service de 10 ans, qui peut être allongée, en guise sanction et parfois écourtée quasi exclusivement en cas de contamination par la Corruption.

Une fois les 10 ans terminés le milicien peut faire ce qu’il veut de sa vie, mais peut sont ceux qui choisissent de quitter les rangs, et ceux qui le font sont globalement assez mal vu. Le sentiment de communauté et d’appartenance est très fort dans les rangs de milices.

Les Miliciens évoluent quasiment toujours en meute, une meute comptant 6 à 7 individus dont un leader qui est appelé Alpha.

Leur lieu de vie pendant les 10 ans obligatoire et après s’ils le souhaitent est la tanière, c’est un fort en toute proche périphérie des Chefs-lieux des Duchés, il en a donc trois.

Leur mission principale est de sillonner Auven à la recherche de trace de Corruption, mais il leur arrive de plus en plus d’être mobilisées pour gérer des foyers de fièvre des Lucioles qui deviennent ingérables. Leur intervention dans ce cas n’est jamais de bon augure et finit souvent dans le sang. Ce qui n’est pas forcément du goût de tous aussi bien dans les rangs de la milice que dans le peuple.


Les Chercheurs -

Véritable touche à tous, les Chercheurs sont la véritable grande force du Clergé, ces centaines d'esprits brillants qui n'ont que pour but de trouver comment éradiquer la Corruption, la Fièvre des Lucioles et toute autre forme de maladie.

Ils viennent de toute horizons, ce sont souvent des prêtres ou des prêtresses qui ont poussé leur intérêt pour l'alchimie, se sont des proches de membre du clégré qui y ont vu une façon d'assouvir leur curiosité, ou encore ce sont des profanes qui ont décider de servire un intéret plus grand que le leur.

Sous la tutelle du Père des Élixirs, ils sont regroupés dans un grand laboratoire alchimique à Hugren, toutefois, il n'est pas rare de croiser des Chercheurs hors de ces murs et la ville, voir en pleine campagne. Si certaines sont de véritables rats de bibliothèque incapable de quitter leur laboratoire d'autre ont la bougeotte et sillonne Auven pour relever des données, collecter des échantillons et revenir avec de nouvelles idées.


Les Sangs-Blanc -

Les Sangs-blanc sont un peu à part dans le Clergé, il ne son prêtre, ni Huva, ni Huvar, ni Milicien, ils ne sont pas formés à combattre la corruption de manière physique. En réalité ils ne sont obligés de ne se former à rien.

Dit ainsi, il serait tentant de croire que c’est un rôle enviable, une immunité parfaire à la Corruption, aucune obligation, toutefois, il n’en est rien. La vie des Sangs-Blancs est entièrement régie par le Clergé, une fois trouvé ils passent sous la tutelle du Culte et ne sont plus maître de leur vie, elle est offerte à Huvara et au bien d’Auven.
Pour symboliser cela un collier et des bracelets inamovibles est sertit sur leur cou et leurs poignets pour bien marquer leur statut.

Ils sont gardés dans un grand domaine tout proche d’Hugren et n’ont le doit d’en sortir que sur autorisation du Supérieur du temple de la ville uniquement et toujours accompagné d’un ou plusieurs miliciens.

Ils ne manquent de rien, à part de liberté, le Clergé pourvoyant à tout leur besoin via la vente de remède fait avec leur sang. Il occupe le quotidien entre deux saignées par ce qu’ils veulent.

Physiquement ils sont comme tout un chacun à part que leur carnation est plus claire que la moyenne, dû à l’absence de couleur de leur sang. Ils peuvent avoir toute corpulence, toute couleur de cheveux, yeux etc…

Ils sont repérés assez tôt, quel enfant ne s’écorche pas une main ou un genou ?

Il n’y a en tout qu’une vingtaine de Sang-Blanc dans tout Auven et seule une dizaine d’entre eux sont en état de se faire prélever du sang, les autres étant trop jeune, trop vieux, parfois malade.

Cacher un Sang-Blanc est considérer comme un acte d’hérésie au vu de la préciosité de ces individus et les sanctions sont donc adaptée en conséquence.

Note aux joueurs qui auraient l’idée de faire un Sang-Blanc : Si l’idée vous prend de faire un Sang-Blanc qui sort du schéma, certes peu enviable, d’existence ci-dessus, sachez que votre fiche sera scrutée dans les moindres détails et soumise à un niveau d’exigence équivalent à l’improbabilité de la vie du personnage envisagé. Nous invitons donc toute personne souhaitant faire cela à nous contacter en amont pour résumé sont idée afin d’éviter la frustration que des heures de rédaction et de réflexion soient balayée d’un refus.




Le Mythe -

avant, il n’y avait que la nature et l’homme, un équilibre sans réciprocité, mais semblant nécessaire. Une nature qui offrait ses fruits sans condition année après année, se laissant domestiquer. Les communautés grossissaient, se sédentarisaient, puis un jour, s’étant peut-être établi trop près de sa tanière le mal avait sévi, un mal qui serait appelé corruption. Des attaques d’animaux se faisaient plus inquiétantes, plus pressantes, rendant le monde périlleux…

Un jour Huvara, un jeune homme, errait dans les bois à la recherche d’une proie. Le chaos avait affamé son village, les habitants après avoir perdu beaucoup des leurs dans des attaques, ne voulaient plus sortir aux champs. N’avait-il pu se résoudre à les voir tous s’éteindre à petit feu étouffés par la peur et la faim.
Il avait pisté une meute de loups, espérant qu’elle était en chasse, bien décidé à débusquer la proie avant eux. Seulement, après une progression certaine vers son objectif, le sol se teinta de rouge, une dépouille, deux dépouilles, trois dépouilles d'animaux, de ces prédateurs chassant en groupe, toutes plus déchiquetées les unes que les autres. Encore quelques pas. Il était là l’auteur du carnage, un ours, aux yeux rouges, suintant une gelée rouge… Un loup, seul se tenait face à lui, blessé.
La patte de la bête rendue plus sauvage qu'elle ne pourrait jamais l'être, se dressa allant assener un coup à ce prédateur esseulé.
Non ! Le courage, la pitié, la foi, la bonté, difficile de dire ce qui l’avait poussé à se jeter sur l’ours pour sauver le loup. Son couteau s’enfonça dans l’épaisse fourrure de l’animal, tranchant la chaire de son cou, déversant un flot de sang. Malheureusement, s’était-il trop laissé exposer, avait-il fini comme les compagnons de meute de son infortuné protégé. Alors que ses derniers souffles s’échappaient de lui, il vit le monstre s’approcher des petites silhouettes tentant de s’enfuir.

La dernière image qu’il vit fut celle de la masse d’effondrant sentant les vibrations dans son être meurtrit. Songeait-il que c’était la fin.

Pourtant, il sembla s’éveiller à nouveau, le monde n’était pas tel qu’il avait l’habitude de le voir, de le sentir. La faveur d’une flaque, il se vit, il vit un loup, un loup imposant, faisant une taille humaine.

Ne fut-il que le premier à qui la nature fit un don, en suivirent d'autres, à qui elle légua pour mission d’éradiquer le mal. Il y eut des batailles épiques, des défaites cuisantes avant que le dernier mal n'ait été purifié, laissant un monde semblant neuf, en paix.


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